UN TROU AU FOND DE LA PASSOIRE
Ragnar porte des lunettes depuis décembre dernier. Des lunettes pour voir de près et des lunettes pour voir de loin. Deux paires de lunettes pour un seul Ragnar, c'est déjà une paire de trop. Mais là n'est pas le sujet de ce post.
Ragnar se prépare régulièrement une mixture dont il semble se délecter quotidiennement, mixture dont lui seul à le secret, secret que je ne cherche aucunement à percer bien que Ragnar m'offre galamment, et très souvent, trop souvent même, de le partager.
Bref
Pour préparer ladite mixture, Ragnar a besoin d'une passoire autrement nommée "chinois" (là encore je n'irai pas plus avant sur la dénomination de l'ustensile histoire de ne heurter aucune susceptibilité).
Voici donc notre Ragnar dans la cuisine, debout devant le plan de travail, chaussé de sa paire de lunette vue de près, tenant le "chinois" avec la main droite, le levant vers la fenêtre pour capter plus de lumière, et regarder longuement et attentivement le fond de la passoire.
Marushka, assise à table et se régalant de saumon fumé et d'oeufs brouillés (les protéines au petit déjeuner, c'est meilleur pour la santé), Marushka dont la patience légendaire envers Ragnar n'est plus à démontrer, et Marushka connaissant bien le "phénomène" Ragnar depuis maintenant plus de 10 ans, Marushka donc ne s'étonne point du long silence et de la toute aussi longue observation d'un ustensile de cuisine, un mercredi matin, dans une cambuse sise quelque part sur l'île de Wight entre mer et ciel.
Mais vu que la patience, c'est péché que d'en abuser, entre deux bouchées, Marushka finit par questionner : "Y'a un problème ?"
Ragnar répond : "Y'a un trou au fond de la passoire."
Blasée par l'habitude de ce genre d'aventures matinales, Marushka laisse tomber (au sens figuré du terme) : "Si tu regardes mieux, tu en verras plusieurs."
Puis elle déposa son assiette et ses couverts dans l'évier, se dirigea vers son bureau, ferma la porte de la pièce, s'installa devant son PC et rédigea le texte que tu es en train de lire, fidèle lecteur/lectrice.
Au loin, elle entendit le bruit du blender, témoignant ainsi que Ragnar avait résolu l'énigme du trou dans la passoire.
Notre vie de couple est d'une poésie que je n'aurais jamais imaginée, même dans mes rêves les plus torrides.
Sur ce...
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
Ragnar se prépare régulièrement une mixture dont il semble se délecter quotidiennement, mixture dont lui seul à le secret, secret que je ne cherche aucunement à percer bien que Ragnar m'offre galamment, et très souvent, trop souvent même, de le partager.
Bref
Pour préparer ladite mixture, Ragnar a besoin d'une passoire autrement nommée "chinois" (là encore je n'irai pas plus avant sur la dénomination de l'ustensile histoire de ne heurter aucune susceptibilité).
Voici donc notre Ragnar dans la cuisine, debout devant le plan de travail, chaussé de sa paire de lunette vue de près, tenant le "chinois" avec la main droite, le levant vers la fenêtre pour capter plus de lumière, et regarder longuement et attentivement le fond de la passoire.
Marushka, assise à table et se régalant de saumon fumé et d'oeufs brouillés (les protéines au petit déjeuner, c'est meilleur pour la santé), Marushka dont la patience légendaire envers Ragnar n'est plus à démontrer, et Marushka connaissant bien le "phénomène" Ragnar depuis maintenant plus de 10 ans, Marushka donc ne s'étonne point du long silence et de la toute aussi longue observation d'un ustensile de cuisine, un mercredi matin, dans une cambuse sise quelque part sur l'île de Wight entre mer et ciel.
Mais vu que la patience, c'est péché que d'en abuser, entre deux bouchées, Marushka finit par questionner : "Y'a un problème ?"
Ragnar répond : "Y'a un trou au fond de la passoire."
Blasée par l'habitude de ce genre d'aventures matinales, Marushka laisse tomber (au sens figuré du terme) : "Si tu regardes mieux, tu en verras plusieurs."
Puis elle déposa son assiette et ses couverts dans l'évier, se dirigea vers son bureau, ferma la porte de la pièce, s'installa devant son PC et rédigea le texte que tu es en train de lire, fidèle lecteur/lectrice.
Au loin, elle entendit le bruit du blender, témoignant ainsi que Ragnar avait résolu l'énigme du trou dans la passoire.
Notre vie de couple est d'une poésie que je n'aurais jamais imaginée, même dans mes rêves les plus torrides.
Sur ce...
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
Kintsugi est bien plus qu'une simple méthode de réparation ; c'est une philosophie qui souligne que la véritable beauté d'un objet ne se limite pas à son apparence initiale, mais se trouve également dans le temps, l'effort et le processus de réparation. Dans notre parcours de vie, tout comme un objet en céramique qui se brise, nous pouvons être confrontés à des moments de rupture, de douleur et de désillusion. Cependant, la philosophie de Kintsugi nous enseigne que ces fractures ne sont pas des signes de faiblesse, mais plutôt des opportunités de transformation et de renaissance. Nos cicatrices émotionnelles sont des marques de notre histoire personnelle. Chaque blessure, chaque échec, chaque moment de vulnérabilité peut être vu comme une pièce de notre mosaïque intérieure. Au lieu de nier ces imperfections, nous pouvons les mettre en valeur, tout comme l'artisan qui utilise de l'or pour réparer une poterie brisée. Cela crée non seulement un objet unique, mais aussi une œuvre d'art qui raconte une histoire de résilience et de beauté.
Je m'appuie sur les richesses du symbolisme et de l'onirocritie pour vous offrir des conseils éclairés et pertinents. En tant que langage universel, le symbolisme nous permet d'accéder à des significations profondes et d'explorer les émotions et les motivations qui guident nos choix. L'onirocritie, quant à elle, nous aide à interpréter les rêves et les symboles qui émergent de notre inconscient, révélant ainsi des pistes de réflexion et de transformation.
L'onirocritie - ou onirocritique - est l'Art d'interpréter les rêves. Ce terme vient du grec oneiros qui signifie rêve, et kritikos qui signifie critique ou jugement.
L'onirocritie établit un lien étroit avec le symbolisme puisque ces deux pratiques partagent des objectifs similaires en matière d'exploration de l'inconscient et d'interprétation des symboles, offrant des perspectives précieuses pour la compréhension de soi. Ainsi, l'onirocritie, tout comme le symbolisme, permet de mieux comprendre nos pensées, émotions, désirs et peurs, et révèle des aspects de notre vie dont nous n'avons pas pleinement conscience. Elle offre ainsi une opportunité d'introspection, peut révéler des conflits ou des préoccupations internes et servir ainsi de guide dans la prise de décisions ou la résolution de problèmes.
L'onirocritie a également une dimension culturelle et historique, car elle a été - et est toujours - utilisée dans de nombreuses civilisations pour interpréter des messages divins ou des présages. Cela en fait un sujet fascinant qui relie psychologie, spiritualité et culture. En somme, l'onirocritie, tout comme le symbolisme, enrichit notre compréhension de nous-mêmes, des autres et du monde qui nous entoure.
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
L'onirocritie établit un lien étroit avec le symbolisme puisque ces deux pratiques partagent des objectifs similaires en matière d'exploration de l'inconscient et d'interprétation des symboles, offrant des perspectives précieuses pour la compréhension de soi. Ainsi, l'onirocritie, tout comme le symbolisme, permet de mieux comprendre nos pensées, émotions, désirs et peurs, et révèle des aspects de notre vie dont nous n'avons pas pleinement conscience. Elle offre ainsi une opportunité d'introspection, peut révéler des conflits ou des préoccupations internes et servir ainsi de guide dans la prise de décisions ou la résolution de problèmes.
L'onirocritie a également une dimension culturelle et historique, car elle a été - et est toujours - utilisée dans de nombreuses civilisations pour interpréter des messages divins ou des présages. Cela en fait un sujet fascinant qui relie psychologie, spiritualité et culture. En somme, l'onirocritie, tout comme le symbolisme, enrichit notre compréhension de nous-mêmes, des autres et du monde qui nous entoure.
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova