RETOUR AU CENTRE
Tu gères une situation, tu t’y attelles du mieux que tu peux, puis tu lâches prise, tu fermes la porte, tu clos le dossier et tu te détends. Enfin. Une seconde, peut-être même deux. À peine.
Parce que juste derrière ce que tu viens d’accomplir, un autre défi agite déjà la main dans ta direction. Peur, colère, rage, angoisse, désespoir... Tu hésites encore. Mais quoi que tu fasses, les émotions te submergent.
Il y a des jours comme ça où tu aimerais que tout s'arrête. Soudainement. Sur un simple claquement de doigts. Il y a des jours comme ça où tu te demandes si cela vaut vraiment la peine de continuer ta route. Pour quoi ? Pour qui ?
Et puis tu la continues, ta route. Même sans savoir pour quoi ou pour qui. Tu la continues parce que c’est plus fort que toi. Plus fort que ton découragement. Plus fort que tes doutes et tes sempiternels questionnements. Plus fort que ce que ton ego blessé croit désirer.
Il est important dans ces moments-là de te poser un peu. Même si ce n'est qu'une fraction de seconde. Histoire de reprendre des forces, non plus pour lutter, mais pour accueillir. Le pire tout autant que le meilleur. Parce que l'un ne va pas sans l'autre. C'est vraiment important de prendre le temps de te poser, de te recentrer, de mettre la Vie au centre de tes priorités.
Et souviens-toi que tu es la Vie, que tu es l'oeil du cyclone et que ce qui est chamboulé autour de toi s'apparente à un grand ménage, nettoyage, lessivage. Si tu trouves que cela résiste à ta volonté, cela veut dire que tu es toi-même dans la lutte et le combat. C'est toi qui résiste. C'est toi qui te fais mal. Et tu as le droit, voire même le devoir, de cesser de te faire mal. Et tu es capable d'y arriver. Si tu en fais le choix. Parce que bien sûr, tu es libre de choisir.
Dans les pires moments de ton existence, ces moments où tu te sens perdu ou abandonné par le sort, surtout souviens-toi de retourner au centre, là où tout est calme et paisible. Là où tu cesses d'analyser le pourquoi et le comment, là où tu cesses de juger tes actions, tes réactions, le chemin que tu as précédemment emprunté et où il t'a mené, ici et maintenant.
Retourne au centre, là où tu sens que siège ta véritable puissance. Ce n'est qu'en ce lieu que tu comprendras que tout va bien et que tout est absoluement parfait. Et alors tu verras, "comme par magie", qu'il existe une solution pour chaque expérience que tu considérais jusque-là comme "problématique".
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
Retour à la page RÉFLEXIONS
Parce que juste derrière ce que tu viens d’accomplir, un autre défi agite déjà la main dans ta direction. Peur, colère, rage, angoisse, désespoir... Tu hésites encore. Mais quoi que tu fasses, les émotions te submergent.
Il y a des jours comme ça où tu aimerais que tout s'arrête. Soudainement. Sur un simple claquement de doigts. Il y a des jours comme ça où tu te demandes si cela vaut vraiment la peine de continuer ta route. Pour quoi ? Pour qui ?
Et puis tu la continues, ta route. Même sans savoir pour quoi ou pour qui. Tu la continues parce que c’est plus fort que toi. Plus fort que ton découragement. Plus fort que tes doutes et tes sempiternels questionnements. Plus fort que ce que ton ego blessé croit désirer.
Il est important dans ces moments-là de te poser un peu. Même si ce n'est qu'une fraction de seconde. Histoire de reprendre des forces, non plus pour lutter, mais pour accueillir. Le pire tout autant que le meilleur. Parce que l'un ne va pas sans l'autre. C'est vraiment important de prendre le temps de te poser, de te recentrer, de mettre la Vie au centre de tes priorités.
Et souviens-toi que tu es la Vie, que tu es l'oeil du cyclone et que ce qui est chamboulé autour de toi s'apparente à un grand ménage, nettoyage, lessivage. Si tu trouves que cela résiste à ta volonté, cela veut dire que tu es toi-même dans la lutte et le combat. C'est toi qui résiste. C'est toi qui te fais mal. Et tu as le droit, voire même le devoir, de cesser de te faire mal. Et tu es capable d'y arriver. Si tu en fais le choix. Parce que bien sûr, tu es libre de choisir.
Dans les pires moments de ton existence, ces moments où tu te sens perdu ou abandonné par le sort, surtout souviens-toi de retourner au centre, là où tout est calme et paisible. Là où tu cesses d'analyser le pourquoi et le comment, là où tu cesses de juger tes actions, tes réactions, le chemin que tu as précédemment emprunté et où il t'a mené, ici et maintenant.
Retourne au centre, là où tu sens que siège ta véritable puissance. Ce n'est qu'en ce lieu que tu comprendras que tout va bien et que tout est absoluement parfait. Et alors tu verras, "comme par magie", qu'il existe une solution pour chaque expérience que tu considérais jusque-là comme "problématique".
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
Retour à la page RÉFLEXIONS