S'ÉLEVER AU-DELÀ DE CE QUI NOUS LIMITE
S’élever, c’est suivre la voie de sa propre évolution, sans se laisser freiner par les jugements ou les critiques extérieures. C’est avoir cette confiance intérieure qui nous pousse à poursuivre notre chemin, même lorsque l’entourage tente de nous détourner ou de nous faire douter. La véritable croissance se trouve dans cette capacité à rester fidèle à soi-même, à écouter sa propre guidance, et à faire fi des voix qui cherchent à nous faire descendre de notre altitude intérieure. S’élever, c’est aussi accepter que certains obstacles, comme les attaques ou les critiques, font partie du voyage, mais qu’ils ne doivent pas nous faire perdre de vue notre but.
L’image de l’aigle et du corbeau illustre parfaitement cette dynamique. Les corbeaux, souvent perçus comme des oiseaux rusés et insaisissables, sont aussi les seuls à oser s’attaquer à l’aigle, cet oiseau majestueux qui vole haut dans le ciel. Plutôt que de se battre contre ces attaques ou de s’abaisser à leur niveau, l’aigle choisit de continuer à s’élever, de préserver son altitude, de se concentrer sur sa trajectoire. Il laisse le corbeau lui donner des coups de bec, sachant que plus il s’élève, plus il s’éloigne des attaques et des critiques. Mais le corbeau, lui, finit par lâcher prise : il ne peut pas voler aussi haut que l’aigle, car l’altitude requiert une force et une capacité d’oxygénation que le corbeau ne possède pas. À mesure que l’aigle monte, la densité de l’air diminue, rendant la respiration plus difficile pour celui qui n’a pas la puissance ou l’adaptabilité pour atteindre ces sommets. Il manque d’oxygène, et cette limite l’oblige à abandonner sa poursuite.
Ce qui rend cette histoire si puissante, c’est la leçon qu’elle recèle : la véritable liberté réside dans cette capacité à s’élever au-delà des jugements. Le corbeau finit par manquer d’oxygène, incapable de suivre cette ascension, et finit par lâcher prise. L’aigle, lui, continue à monter, à prendre de la hauteur, à s’élever au-dessus des tempêtes et des attaques. En volant toujours plus haut, il se libère des limites imposées par ceux qui cherchent à le faire tomber, et il trouve la paix dans cette altitude, cette distance qui lui permet d’observer le monde avec clairvoyance et sérénité.
S’élever, c’est donc accepter que notre croissance personnelle ne doit pas dépendre de l’approbation extérieure. C’est reconnaître que chaque pas en avant, chaque effort pour atteindre notre propre sommet, nous éloigne des voix discordantes et des jugements infondés. En suivant cette voie, nous découvrons la véritable force intérieure : celle qui nous permet de nous libérer des attaques et de continuer à progresser, de plus en plus haut, en toute confiance. Car, comme l’aigle, nous savons que la grandeur consiste à prendre de la hauteur, à s’élever au-delà des épreuves et des critiques, pour atteindre notre propre lumière.
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
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L’image de l’aigle et du corbeau illustre parfaitement cette dynamique. Les corbeaux, souvent perçus comme des oiseaux rusés et insaisissables, sont aussi les seuls à oser s’attaquer à l’aigle, cet oiseau majestueux qui vole haut dans le ciel. Plutôt que de se battre contre ces attaques ou de s’abaisser à leur niveau, l’aigle choisit de continuer à s’élever, de préserver son altitude, de se concentrer sur sa trajectoire. Il laisse le corbeau lui donner des coups de bec, sachant que plus il s’élève, plus il s’éloigne des attaques et des critiques. Mais le corbeau, lui, finit par lâcher prise : il ne peut pas voler aussi haut que l’aigle, car l’altitude requiert une force et une capacité d’oxygénation que le corbeau ne possède pas. À mesure que l’aigle monte, la densité de l’air diminue, rendant la respiration plus difficile pour celui qui n’a pas la puissance ou l’adaptabilité pour atteindre ces sommets. Il manque d’oxygène, et cette limite l’oblige à abandonner sa poursuite.
Ce qui rend cette histoire si puissante, c’est la leçon qu’elle recèle : la véritable liberté réside dans cette capacité à s’élever au-delà des jugements. Le corbeau finit par manquer d’oxygène, incapable de suivre cette ascension, et finit par lâcher prise. L’aigle, lui, continue à monter, à prendre de la hauteur, à s’élever au-dessus des tempêtes et des attaques. En volant toujours plus haut, il se libère des limites imposées par ceux qui cherchent à le faire tomber, et il trouve la paix dans cette altitude, cette distance qui lui permet d’observer le monde avec clairvoyance et sérénité.
S’élever, c’est donc accepter que notre croissance personnelle ne doit pas dépendre de l’approbation extérieure. C’est reconnaître que chaque pas en avant, chaque effort pour atteindre notre propre sommet, nous éloigne des voix discordantes et des jugements infondés. En suivant cette voie, nous découvrons la véritable force intérieure : celle qui nous permet de nous libérer des attaques et de continuer à progresser, de plus en plus haut, en toute confiance. Car, comme l’aigle, nous savons que la grandeur consiste à prendre de la hauteur, à s’élever au-delà des épreuves et des critiques, pour atteindre notre propre lumière.
© Le Verbe Guérisseur - Marushka Tziroulnikova
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